MOÏSE + GALILÉE + GANDHI + MANDELA... = E. TSHISEKEDI

               Ecce homo

Etienne Tshisekedi wa Mulumba aura été cet homme qui par, sa vision de société et son combat politique de proximité contre les successives dictatures congolaises, a renvoyé, poussé les congolais à se déterminer, à se choisir entre le mal ( Prise et exercice de pouvoir sur des cadavres - Vols, viols, mensonges...comme mode de gestion...) et le bien ( Lutte non-violente - Prise en charge - Prise de conscience et de responsabilité - Droits de la personne humaine - Respect de la res publica ) et cela l'a maintenu sans discontinue aux 1ers rangs du hit-parade politique congolais depuis une trentaine d'années.

Quand les uns croient dur comme fer en son combat et l'adoptent jusqu'à se faire parfois justice quand ils sont poussés aux extrêmités, c'est-ce qu'on appele à tort et par pénurie de mots, fanatisme; les autres, ses adversaires et leurs adeptes, qui voient leurs intérêts-égoïstes  menacés par ce combat, le prennent pour leur ennemi à abattre socialement, politiquement et physiquement .

Rappel de certaines définitions : 

Fanatisme. 

Selon Dictionnaire de la langue française ( Maxi poche ) : 

- Le fanatisme est une " Exaltation excessive pour une cause, une doctrine, etc. - un Enthousiasme débordant, passionné ".

Selon Wikipédia :

- Le fanatisme est une forme d'intolérance extrême qui pousse à la persécution de l'altérité ( La reconnaissance de l'autre dans sa différence ) sous toutes ses formes.

- Le Fanatique quant à lui, désigne une personne qui, au nom d'une foi, est capable de faire n'importe quoi pour la faire triompher.

- Le fanatique ( selon Albert Brie ) est un  héros qui, pour le triomphe de ses préjugés, est prêt à faire le sacrifice de votre vie.

-Plus simplement ! Le fanatisme est un comportement extrême qui relève de la passion mais surtout dans lequel le détachement et la pondération  n'ont plus de place.

Dans le cas d'espèce, les combattants de l'UDPS qui appuyent leur leader en dénonçant sans complaisance le mal, en résistant contre lui ( le mal ), parfois à se faire justice ( légitime défense ) et en le ( le leader ) soutenant pour qu'il prenne la gestion du pays entre ses mains pour le bien de tous ne sont pas si fanatiques que ceux qui tuent quand ils en ont envie et plaisir, qui sèment la terreur urbaine pour donner exemples et dissuader, qui violent les hommes, les bébés de 3 mois et les femmes de plus de 80 ans, qui font disparaître et cachent leurs victimes, qui passent tout leur temps à fomenter des vils mensonges et autres calomnies contre E.Tshisekedi pour le jeter en pâture à l'opinion publique congolaise dépourvue de tout moyen de vérification des faits lui reprocher.

Les fanatiques sont ceux-là qui :

- Ont des préjugés sur E. Tshisekedi et les tshisekedistes,

- Ne tolèrent pas les marches, sit-in, grèves, meetings

  de l'UDPS...

- Ne tolèrent pas qu'on dénonce leurs crimes économiques,

  sociaux, politiques... 

- N'acceptent pas que les tshisekedistes défendent

  Tshisekedi, l'homme qui incarne l'espoir du Congo.

Pseudonyme.

Selon Dictionnaire de la langue française ( Maxi poche ) : 

Le Pseudonyme est un nom d'emprunt sous lequel une personne notamment, un écrivain ou un artiste, choisit d'être connue du public.

Quant à SensAgent, le pseudonyme est un nom d'emprunt qui a été choisi par une personne, auteur ou artiste, pour éviter de faire connaître sa véritable identité.

Dans le glossaire Nanarland, on dit que le Pseudonyme est d'usage très courant dans le monde du cinéma, pour se substituer à des noms imprononçables ( ex. Eyjafjallajökull, le fameux volcan d'Islande. Ibrahimovic = Ibra ), peu glamour ( Biakalwamfiku ), ethniquement trop marqués ( Mutombo = Demuto ), déjà pris ailleurs ou par une volonté trop marquée d' " américaniser le produit " ( Bill Clinton )

Comme on le voit si bien, on ne dira pas que E. Tshisekedi s'est choisi les noms de Moïse et de Mandela pour se faire connaître du public encore moins pour cacher ses idéntités ! Il ne s'est jamais choisi un pseudo, lui. 

Et vous les petits esprits et les méchants qui êtes entrain de rouspéter en disant que " s'il ne s'est pas choisi un pseudo, pourquoi n'a-t-il pas empêché " ? - Laissez-moi vous dire que si E. Tshisekedi doit perdre tout temps à empêcher les combattants qui se le regalent bien en le nommant ainsi, ce qu'il n'a rien à faire et vous connaissez mal l'homme.

Entre parenthèse ( L'homme est d'un calme inquiétant, d'une patience à revendre, d'une volonté en acier et d'une force tranquille. Un éléphant tranquille, lent et lourd. Et quand tout se réunit, l'occasion s'y prête et qu'il se décide de décider, rien n'arrête sa course et tout se renverse sur son passage ) 

Revenons à nos moutons. Je disais que si E.Tshisekedi doit jouer à ça, ce qu'il n'a rien à faire :

Même Gaston-Marie F. Djamba Yohé, très allergique aux invectives contre lui et aux mensonges, ne répond toujours pas à tout, sinon il ne ferait plus rien, sinon ses nombreux lecteurs s'ennuyeraient !

Même Kabeya Nkashama qui est très allergique à la seule évocation du nom de Tshisekedi, il lui arrive parfois de ne pas le jeter en pâture, sinon il n'aurait pas le temps de parler de son village, des Bkua. Kalonji, de sa fille qui doit avoir plus ou moins 10 ans ( J'espère qu'il ne va pas nous parler des relations de sa fille...), de ses nkambwa ( ancêtres ) qu'il invoque 31 fois le jour, de la façon dont ses visiteurs ont mangé et apprécié la cuisine de sa chère épouse, cette grande infirmière parisienne ( Longonia pona loboko ya mama munganga ), des  vrais-faux fondateurs de l'UDPS, de ses frères du village pourvoyeurs financiers de l'UDPS, de ses relations avec des blancs, de ses réalisations, des réalisations de ses frères du village de Righini et de son incontournable importance à l'UDPS et nyanya, nyanya...

Même Kadima Nico..., ah non. À lui, je réserve toute une page. Elle sera déjà prête dimanche prochain 28 novembre aux heures du soir. Il suffit seulement d'entrer dans mon blog et voir la rubrique Pages dans la colonne de droite. 

Alors, quid de tous ses pseudonymes ?

Qu'on l'aime ou qu'on ne l'aime pas, E.Tshisekedi restera cet homme d'état congolais qui s'est battu pour l'instauration de la démocratie au Congo et son combat, même si on peut y trouver quelques ratés ( quoi de plus normal ), reste un combat juste, honnête, patriotique, nationaliste, humanitaire et humanisant...et en tant que témoins privilégiés, les congolais compareront son combat à ceux menés par Moïse, Mandela et autres...d'où l'emprunt de tous ces noms, mais...!

Mais, il faut se dire qu'aucune commission ne s'est réunie à ce sujet. L'initiateur, comprenez son émotion, seul l'aspect " Libération " l'a intéressé. Le reste pour lui n'avait aucune importance. Personne ne peut lui jeter une pierre, c'est ça notre culture. La culture de complexe d'infériorité envers les étrangers, surtout envers les blancs. Entre parenthèse ( Nous avons en général une culture qui ne se prête que très difficilement au développement ).

Et pourtant, en portant des vraies et bonnes lunettes, on se rendra compte que E. Tshisekedi ne mérite pas le nom de Moïse, ni de Mandela et autres...non plus ! - Qu'est-ce qu'il dit encore ce WBT ? - Voilà ce que vous vous dites intérieurement !

Eh ben, WBT vous dis que E. Tshisekedi à lui seul, a réuni en lui tous les combats menés par ces grands hommes du monde et pour ce, il est plus grand qu'eux tous réunis, tenez : 

MOÏSE.

Après sa naissance, sa mère Yokheved cache l’enfant durant trois mois puis l’abandonne dans une corbeille sur le Nil, près de la rive. La fille du pharaon, qui se baignait avec des courtisanes, trouve l’enfant et décide de l’adopter, bien que soupçonnant immédiatement que l’enfant était hébreu.

Elle demande alors à une jeune fille qui observe la scène de lui trouver une nourrice parmi les Hébreux pour l’élever. Cette jeune fille, Myriam, qui n’est autre que la sœur aînée de Moïse, lui présente sa mère.

En effet, après avoir été élevé à la cour du pharaon, c'est-à-dire loin des siens, Moïse «alla parmi ses frères et vit leurs lourdes peines». En prenant fait et cause pour eux, il rompt avec son enfance et sa jeunesse. Dans un geste qui révèle à la fois l'élan de sa révolte et son exigence de justice, il frappe à mort un Égyptien, pour l'avoir vu porter la main sur un Hébreu (Exode II, 11-12).

Similitude et Altérité 

Moïse a été sauvé par la fille du Pharaon et a vécu dans la cour de ce dernier. Etienne Tshisekedi de son côté, a été parrain d'un fils du Pharaon congolais Joseph Mobutu et a aussi travaillé avec lui.

Après avoir travaillé avec Mobutu et ayant constaté ses dérives, E. Tshisekedi a pris fait et cause pour le peuple congolais et a rompu avec ces relations dangereuses.

Mais contrairement à Moïse qui avait piqué une sainte colère jusqu'à tuer un égyptien, Etienne Tshisekedi lui, n'a jamais fait de mal à une mouche ( Zéro faute ). Barack Obama lui, en a déjà tué une... 

Dieu apparaît pour la première fois aux yeux de Moïse; il lui confie la mission de délivrer son peuple, de le guider ensuite vers Canaan, le «pays ruisselant de lait et de miel» (Exode III).

Commence alors pour Moïse, secondé par son frère Aaron, une longue et pénible confrontation avec Pharaon (Exode V à XII), dont Dieu a endurci le cœur (Exode IV, 21) et qui refuse obstinément de rendre leur liberté aux Hébreux. Dieu ayant infligé les «dix plaies» aux Égyptiens, Pharaon est contraint de céder.

Dieu, ayant choisi Moïse pour faire connaître son message, lui donne le Décalogue (les commandements gravés sur les Tables), noyau de la Torah. Loi morale, politique et rituelle, la Torah scelle le pacte conclu entre Dieu et son peuple, conduit par Moïse : le respect des préceptes qu'elle contient est la condition de l'accès des Hébreux à la Terre promise.

Toutefois les Hébreux, impatients et indociles, en viennent à mettre en doute la crédibilité des paroles de Moïse et des promesses du Dieu invisible (Nombres XIII), et manifestent leur regret d'avoir quitté l'Égypte et ses «marmites de viande» (Exode XVI) ; ils adorent le veau d'or (Exode XXXII), rendant ainsi à nouveau un culte aux idoles, et contestent l'autorité de Moïse lors de la révolte de Korah (Nombres XVI). Tout cela leur vaut la colère de Dieu, qui les condamne à errer dans le désert pendant quarante années, avant de pouvoir entrer dans le pays de Canaan, soit le temps nécessaire au remplacement d'une génération d'esclaves par une génération d'hommes libres, instruits dans la Loi et prêts à assumer l'alliance conclue sur le mont Sinaï.

Similitude

À voir de près le travail de E.Tshisekedi, c'est un véritable apostolat et celui-ci ne vient que de Dieu. Donc, comme Moïse, il a aussi réçu de Dieu la mission de délivrer le peuple congolais des dictatures pour l'amener vers la Démocratie, d'où l'Icône de la démocratie au Congo.

Secondé par ses collègues fondateurs de l'UDPS, il entreprendra une longue  et pénible confrontation ( une guerre d'usure qui usera tous ses collègues fondateurs ) avec tous les Pharaons congolais dont Dieu a endurci les coeurs.

Mais devant les " Dix plaies " leur infligées, ils finiront par céder :

- Mobutu finira par accepter le multipartisme, la CNS...

- L.D. Kabila lui, s'entêtera jusqu'à la mort brutale. 

- Kanambe finira par accepter aussi le DIC.

Et le Décalogue que Dieu a donné à Moïse n'est rien d'autre que les enseignements que E. Tshisekedi a toujours donnés ( Prise en charge - Changement des mentalités - Travail - Courage... ). Et le respect de ses enseignements reste la seule condition d'effacement de la dictature et d'accès à un État de droit ( Terre promise ).

Et comme l'ont fait les hébreux, les congolais ont été aussi impatients et indociles :

Tshisekedi aussi exagère, ça fait 40 ans qu'on n'a pas connu

   les élections et maintenant que Joseph Kabila nous donne

   l'opportunité, nous devons y aller.

Les congolais et certains membres de l'UDPS, 

  - ont manifesté leur regret :

           D'avoir quitté Mobutu ( Joseph Ngalula, Lusanga

              Ngiele, Freddy Kibassa, Marcel Lihau...),

           D'avoir " abandonné " leurs partis politiques

              ( François Xavier Beltchika Kalubye )

  - ont mis en doute  la crédibilité des enseignements de

     E. Tshisekedi en disant qu'il leur faisait perdre le temps

     ( Nguz, Birindwa, Eve Bazaiba, Kabeya Nkashama...)

Tout cela leur a valu la colère de Dieu, c'est ainsi qu'il les ( congolais et Udpsiens ) a condamné à errer le désert depuis 1990 et cela fait déjà 20 ans.

À vous tous qui vous amusez à tourner en dérision le pseudo de Moïse collé à Tshisekedi, vous venez d'être servis et à vous de la jouer intelligemment et sagement !

Quant à moi, je me refuse de spéculer sur l'entrée de Tshisekedi à Canaan, les voies de Dieu étant insondables. Il donne quand il veut, comme il veut et à qui il veut. Mais ce qui est vrai est que celui qui prendra le relais de E. Tshisekedi n'est pas Beltshika encore moins tous ces agitateurs de malheur dans la mesure où Josué, ce fidèle des fidèles succédera à Moïse avec sa sainte bénédiction.

Galilée

Le pape lui-même se range donc vite à l'avis des adversaires de Galilée : il lui avait demandé une présentation objective des deux théories, pas un plaidoyer en faveur de Copernic.

Galilée est donc à nouveau convoqué par le Saint-Office, le 1^er octobre

1632. Ce qui lui est reproché n'est pas sa thèse elle-même, mais de ne pas respecter une décision de justice - ce qui justifie des sanctions pénales. Son livre est en effet ouvertement pro-copernicien, bafouant l'interdit de 1616 (la mise à l'index de ces thèses ne sera levée qu'en 1757). Malade, il ne peut se rendre à Rome qu'en février 1633. Les interrogatoires se poursuivent jusqu'au 21 juin où la menace de torture est évoquée sur ordre du pape ; Galilée cède.

Le 22 juin 1633, au couvent dominicain de Santa-Maria, la sentence est rendue : Galilée est condamné à la prison à vie (peine immédiatement commuée en résidence à vie par Urbain VIII) et l'ouvrage est interdit. Il prononce également la formule d'abjuration que le Saint-Office avait préparée :

« Moi, Galiléo, fils de feu Vincenzio Galilei de Florence, âgé de soixante dix ans, ici traduit pour y être jugé, agenouillé devant les très éminents et révérés cardinaux inquisiteurs généraux contre toute hérésie dans la chrétienté, ayant devant les yeux et touchant de ma main les Saints Évangiles, jure que j'ai toujours tenu pour vrai, et tiens encore pour vrai, et avec l'aide de Dieu tiendrai pour vrai dans le futur, tout ce que la Sainte Église Catholique et Apostolique affirme, présente et enseigne. Cependant, alors que j'avais été condamné par injonction du Saint Office d'abandonner complètement la croyance fausse que le Soleil est au centre du monde et ne se déplace pas, et que la Terre n'est pas au centre du monde

et se déplace, et de ne pas défendre ni enseigner cette doctrine erronée de quelque manière que ce soit, par oral ou par écrit; et après avoir été averti que cette doctrine n'est pas conforme à ce que disent les Saintes Écritures, j'ai écrit et publié un livre dans lequel je traite de cette doctrine condamnée et la présente par des arguments très pressants, sans la réfuter en aucune manière; ce pour quoi j'ai été tenu pour hautement suspect d'hérésie, pour avoir professé et cru que le Soleil est le centre du monde, et est sans mouvement, et que la Terre n'est pas le centre, et se meut...»

Similitude et Altérité

Tout comme Galilée s'est mis tous ses contemporains sur son dos pour avoir, grâce à ses recherches, dit que la terre tourne autour du soleil. E. Tshisekedi de son côté est cet homme politique-là qui a toujours des idées diamétralement opposées à celles de ses contemporains qui, en fin de compte, finissent par reconnaître : " E. Tshisekedi avait raison ".

la dernière en date : E. Tshisekedi avait  dit que les élections de 2006 étaient organisées pour maintenir Kanambe au pouvoir. Les congolais ont dit : " Non, Tshisekedi exagère aussi ".  Certains membres de l'UPDS, pire certains fondateurs cooptés, ont déserté le camp pour rejoindre JP. Bemba, qui de son côté ne s'était pas reservé à menacer les combattants de l'UDPS qui voulaient marcher et la suite, il a dû accepter l'inacceptable avant qu'il ne soit fauché par la mafia internationale protectrice de Kanambe.

Mais contrairement à Galilée qui n'a pas résisté au rouleau compresseur de ses contemporains en se dédisant, E. Tshisekedi lui, est resté fidèle aux nobles idées, à la vérité et aux engagements.

Condamné à la prison à vie et laquelle peine, commuée en résidence à vie, les nerfs de Galilée ont cédé et on lui a fait lire publiquement un discours contredisant ses recherches. E. Tshisekedi lui, malgré les arrestations, confiscation de ses biens, rélégations, tortures, calomnies, injures, intimidations, l'homme a défié publiquement l'Aigle de Kawele en biffant les mentions inutilement et frauduleusement introduites dans le texte de son investiture. Il refusera à s'impliquer aux dictatures de L.D. Kabila et de Kanambe. 

Mahatma Gandhi

Juriste, pionnier et théoricien de la résistance à l'oppréssion à l'aide de la désobéissance civile de masse, le tout fondé sur la Non-violence, qui a contribué à conduire l'Inde à l'indépendance.

Il fut emprisonné plusieurs fois pour ses activités ( Désobéissance civile, marches, sit-in, meetings...) pourtant non-violentes en Inde et en Afrique du Sud où il a été défendre les droits de la communauté indienne.

Similitude

Tout comme Gandhi, E.Tshisekedi est aussi un juriste, un idéaliste et un combattant. Son combat contre l'oppression et basé sur la Non-violence lui a valu des emprisonnements répétitifs.

Nelson Mandela

Nelson Mandela intègre l'ANC en 1944, afin de lutter contre la domination politique de la minorité blanche et la ségrégation raciale menée par celle-ci. Devenu avocat, il participe à la lutte non-violente contre les lois de l'apartheid, qui commencent à être mises en place après la victoire électorale du Parti national en mai 1948. L'ANC est interdit en 1960, et la « lutte pacifique » ne donnant pas de résultats concrets, Mandela fonde et dirige la branche militaire de l'ANC en 1961, qui mène une campagne de sabotage contre des installations publiques. Arrêté par la police, il est condamné d'abord à une peine de 5 ans de prison puis, inculpé pour sabotages et trahison, il est condamné à la prison à vie et purge sa peine pendant 18 ans.

A la fin des années 1970, il devient une célébrité symbole de la lutte contre l'apartheid, bénéficiant d'une campagne internationale en faveur de sa libération.

Après vingt-sept années d'emprisonnement, Mandela est relâché le 11 février 1990, et soutient la réconciliation et la négociation avec le gouvernement du président Frederik de Klerk. En 1993, il reçoit conjointement avec ce dernier le prix Nobel de la paix pour leurs actions en faveur de la fin de l'apartheid et l'établissement d'une démocratie non-raciale dans le pays.

Similitude et Altérité

Le juriste Mandela n'est pas fondateur de l'ANC tandis que le juriste Tshisekedi est cofondateur de l'UDPS et c'est plusieurs années après qu'il deviendra Président national.

L'ANC dont le combat contre l'apartheid était basé sur la non-violence avait été interdit de toutes activités et cela amenera Mandela à se créer une branche armée, mais l'UDPS lui, malgré toutes les interdictions, les intimidations, les campagnes de sabotage et de dénigrement, les arrestations, les assassinats, E. Tshisekedi continue à porter haut le flambeau de la Non-violence .

Quand Mandela fera 27 ans d'emprisonnement, E. Tshisekedi lui, avec ses 10 ans parsemés de bannissement, des rélégations, d'intimidations, d'emprisonnements, de tourtures, de calomnies et d'injures a beaucoup plus souffert que Mandela et ses 10 ans iront au-delà de 27 ans de Mandela.  Il a été aussi, même parmi ses compagnons de l'UDPS, le tout dernier à recouvrer de sa libérté en 1990 :

- Le 11 février 1990 : Libération de Mandela

- Le 24 avril 1990 : Libération de E. Tshisekedi.

Faut-il encore ajouter qu'il a été une fois de plus rélégué à son village par le numéro 1 du conglomérat des aventuriers de l'AFDL !

Le mal étant profond, je crois qu'il était nécessaire de faire ce petit exercice comparatif pour révéler et relever les idiotes et répugnantes ignorances des Caïn-politiques qui noircissent les pages de l'histoire politique du Congo et du monde.

Il a été retenu, je l'espère bien, que le nom d'une personne humaine n'a pas d'influence sur sa personne ( n'en déplaise aux superstitieux ). Le nom n'est qu'un mot choisi pour désigner et distinguer une personne à une autre. C'est une étiquette sans valeur ajoutée.

Tout comme l'habit ne fait pas le moine, mais qu'on reconnaît le moine par son habit. Le nom non plus ne fait pas la personne, mais on identifie la personne par son nom !

Et vous qui doutez , vous ne me direz tout de même pas que Kabeya Nkashama, même s'il déteste Tshisekedi, est un animal cruel sauvage, incapable de vivre avec les êtres humains sans qu'il ait envie de leur faire du mal, un cannibale, un anthropophage parce qu'il porte le nom de Nkashama ( Nkoyi, léopard ) !

Vous ne me direz pas aussi que JP. Kabengu Tshikele perdra toute raison en étant sur la surface terre et que les terriens le traiteront  de sournois, de requin anthropophage et cannibale tout simplement parce que ses parents lui donné le nom de Tshikele ( Mbisi, mpiodi, poisson ) !

Vous ne me direz pas non plus que Léon Kadima Muntuntu est un insecte qui passe aussi son temps sous terre après qu'il y ait creusé ( labouré ) un trou et qu'il finit toujours par se faire découvrir des hommes qui le feront frire dans un poêle tout simplement parece qu'il s'appelle Kadima ( Creseur, laboureur ) Muntuntu ( Likelele, grillon ) ! 

Moïse + Galilée + Gandhi + Mandela = Etienne Tshisekedi

                                               =

                                                                                                              WA BA TSHIONDO !